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Édité le 18/12/2005 à 22:14
King Big Size
King Kong
Année : 2005
Réalisation : Peter Jackson
Scénario : Fran Walsh, Philippa Boyens& Peter Jackson
Production : Universal Pictures& Wingnut Films Ltd.
Après avoir signé l'un des plus gros succès de tous les temps, tant d'un point de vue économique qu'artistique, avec la trilogie du Seigneur des Anneaux, Peter Jackson est devenu LE king de la planète cinéma. Autoproclamé seigneur du B.O (box-office), le néo-zélandais a empilé les millions de dollars par centaines (presque 3 milliards de $ de recette dans le monde pour l'ensemble des trois films), amassé une belle brouette de récompenses dont 21 oscars au total et après avoir pulvérisé les records peut désormais tout se permettre. Même de mettre en chantier le film dont il rêve depuis tout gamin, un remake du King Kong réalisé en 1933 par Merian C.Cooper et Ernest B.Schoedsack, celui-là même qui lui a donné l'envie de faire du cinéma. Ironie de l'histoire, Peter Jackson avait déjà proposé le projet à Universal en 1996, sans succès. Mais ça c'était avant le méga succès que l'on sait et désormais, quand l'homme parle, on écoute. 207 millions de $, un salaire taille "seigneur du billet vert" (20M$) alloué par. Universal et l'équipe technique du Seigneur des Anneaux reconstituée, King Kong est sur les rails. Direction la Nouvelle-Zélande pour un tournage pharaonique. Disposant de moyens quasi illimités à le démesure de son génie, Jackson peut désormais raconter cette histoire connue d'une équipe de cinéma venu assurer les prises de vue d'un film sans budget sur une île inconnues des cartes : Skull Island. Une terre très inhospitalière abritant nombre de créatures que l'on pensait disparues, ainsi que le fameux Kong. Un gorille, de neuf mètres de haut et quelques tonnes de barbaque, au mauvais caractère.
Scindant son film en trois actes, Peter Jackson livre un film largement à la hauteur de ce que l'on était en droit d'attendre de lui. Une première partie prenant pour cadre le parcours d'une jeune actrice de cabaret, Anne Darrow (magnifiquement incarnée par Naomi Watts), tentant de survivre en pleine Dépression des années 30 ; et celui d'un réalisateur has-been mais qui refuse de le reconnaître et qui cherche à tout prix un moyen de tourner le film qui doit être celui de sa renaissance (Carl Denham, interprété par le surprenant Jack Black). Un second segment se déroulant sur l'île inconnue, puis le troisième et dernier acte, le retour des survivants de l'épisode de Skull Island à New York. Le tout pour plus de 3h de bobine et un film à la fois spectaculaire et romanesque, mettant en scène avec finesse la romance contre nature, mais tendre et touchante, entre Anne Darrow et Kong, ainsi que celle plus classique qu'entretiennent la même Anne avec Jack Driscoll (Adrien Brody), le scénariste du film de Carl Denham. Des décors saisissant de réalisme reconstituant le New York des années 30, des scènes d'action d'anthologie (notamment celles se déroulant sur Skull Island) et de destruction massive dans le dernier tiers du film, un casting très haut de gamme avec Naomi Watts, Jack Black, Adrien Brody et Andrew Sirkis dans le rôle de Kong, le film de Peter Jackson est un divertissement de très haute volée. Classieux mais raffiné, doublé en filigrane d'une critique acerbe et finalement très actuelle du monde de l'entertainement, King Kong marque le retour aux affaires du roi du box-office mondial. 72 ans après le film originel, le réalisateur perpétue le mythe en livrant un classique instantané à l'échelle de son génie. Vous en aviez rêvé, Peter Jackson l'a (re)fait. Respect.
Aurelio
December 2005
> Commenter le blog. 9 commentaires Tags :
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Le 19/12/05 à 18:33,
par Oli
Re: King Big Size
King Kong c'est vraiment énorme
je suis juste déçu q les scenes d'action dantesque aient pris le pas sur le scenar ...
Peter Jackon en fait des tonnes (j'adore) ms oublie un peu de relier les scenes entre elles et ça, C vraiment dommage...
certainement l'oscar pr les SFX ms pas celui du scenar...
et pendant qu'on y est, un oscar pr Naomi Watts svp, meilleur actrice (elle aurait du l'avoir pr Mulholland drive ! elle n'avait mm pas été nominée...)
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Le 19/12/05 à 19:11, par aureliO
Re: King Big Size
effectivement, ya quelques petites "chutes" scénaristiques.... pour ce qui est de Naomi, pour être nominé par l'academie des oscars, faut faire un truc hyper intello. Pour Mulholland Drive, effectivement ça aurait été mérité... mais dans ce cas, fallait le partager avec Laura Elena Harring non?
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Le 19/12/05 à 19:50, par Oli
ouiiiiiiiii
oui bien sur
hors de Q° de séparer la prestation des 2
d'aillrs elles st ttes les 2 invitées chez moi qd elles veulent
raaaaaaahhhh
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Le 19/12/05 à 21:40, par aureliO
Re: ouiiiiiiiii
ah ah, et moi j'peux venir?.... tu risques de ne pas avoir assez de tes deux mains...
je plaisante bien sûr...
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Le 20/12/05 à 14:14, par KEV
Re: ouiiiiiiiii
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Le 20/12/05 à 17:07, par Cactus
Re: ouiiiiiiiii
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Le 20/12/05 à 18:10, par aureliO
Re: ouiiiiiiiii
Harring, pas Harris.... oué je suis pointilleux...
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Le 31/10/06 à 23:21,
par flyingdust
Re: King Big Size
king kong contre dtrois t-rex, et qui tient la fille en mème temps et il les buttes? ouai, ouai....
Au plus les gens deviennent gros, lourds et amorphent, au plus on leur sert du grand spectacle, de l'impressionant, de l'extraordinaire.
Et puis ces scènes qui s'éternisent entre king kong et son aimé,
je te regarde, tu me regarde, je te regarde, tu me regarde,.....rooonnpschh!
autant la première partie est captivante, autant la suite est chiante comme la pluie!







