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Numéro :
Mag #58
On a charbonné pour te livrer, relativement rapidement, un gros numéro avant de terminer l'année. Au menu : Empire State Bastard qui a profité de son concert parisien pour répondre à nos nombreuses questions, tu pourras lire également le live-report de leur show et une chronique de leur album. Côté interviews, il y en a d'autres comme celles de Benefits, Exsonvaldes, Princesses Leya, Bottlekids, 7 Weeks, Unspkble, Dusk of Delusion et Bad Situation ! Et on ajoute Blood Command qui inaugure une nouvelle rubrique qui fait honneur à la Norvège ainsi que l'équipe de Ca dégouline dans le cornet !.
Pour la promotion de ce nouvel opus, la bande de Maxime Goudard propose quatre clips. "Piece of you" et "Suspect" - respectivement premier et deuxième titre de l'album - s'inscrivent dans un style similaire. Ces morceaux sont rythmés par une batterie qui cogne fort et des riffs de guitare puissants. Le chant clair du leader vient contraster en proposant des refrains pops dansants. Un mélange qui reflète l'identité générale actuelle de Storm Orchestra. "Breack the rules" est un clip tourné dans une ambiance moins démonstrative (plus "at home" dirons-nous). Le côté plus sobre des images est plaisant. La musique quant elle est légèrement plus posée. Cependant, elle garde ce rock groovy que Storm Orchestra sait si bien proposer. "Tones of the thunder" avance le groupe sous un autre prisme. Le clip tourné en noir et blanc est accompagné d'images en live. Le titre est percutant et rageur. L'ambiance est plus sombre que sur les premiers titres de l'album. Une atmosphère déchaînée et plus heavy qui donne envie de venir voir Storm Orchestra en concert.
Le groupe déploie une énergie notable sur l'ensemble de son album. La batterie tient la baraque. Ce souffle de rock laisse peu de répit et c'est tant mieux. Souvent, l'influence de Muse s'entrevoie dans les riffs proposés. Storm Orchestra fait le grand écart entre un rock puissant et une pop dansante. Avec un petit goût de miel, la formation termine son album par "Demons". Le chanteur s'accompagne au piano. Le morceau prend quelques envolées façon musique classique. Une véritable romance pour terminer.
Storm Orchestra / Chronique LP > The shining of my soul
En 2017, Storm Orchestra avait sorti Bite the bullet. Le trio parisien faisait la démonstration d'un rock anglo-saxon plein de promesses. En mai, la formation revient dans les bacs avec un nouvel EP: The shining of my soul.
Avec "The shining of my soul", le groupe fait une entrée énergique. Le clip du titre met les musiciens en action. Le son est simple, percutant et efficace. Les gars jouent une partie bien rodée. Peut-être trop propre dans la composition et dans l'intention mais c'est une question de goût. L'inspiration semble cette fois venir davantage de Muse que du hard rock des années soixante-dix. Enchaînement avec "Lose my breath away" qui confirme avec un second clip à la mise en scène jeune et quelque peu absurde. Une décalage certainement volontaire. Très bien accompagné musicalement, le chanteur s'illustre avec un chant clair qui peut se permettre de belles envolées. Les mélodies sont entraînantes mais à l'image de "Drowned" ont toute de même tendance à s'enfoncer dans une pop rock qui manque un peu de grain. "Cal" revient sur la tendance des deux premiers morceaux.
En allant à l'essentiel, Storm Orchestra propose toujours un rock calibré. La formation semble avoir effectué un léger virage dans ses compositions. Les effluves de rock old school se sont un peu dissipées. Le son reste puissant dans un rock qui n'a rien de mielleux.
Storm Orchestra est un trio parisien composé de Maxime Goudard (chant, guitare), d'Adrien Richard (basse, piano, chœurs) et de Marc Familari (batterie, percussions). Le groupe fait partie du collectif Outrage qui réunit huit formations sous une devise bien connue et empruntée à AC/DC : "It's a long way to the top". Mais alors le concept, c'est quoi ? C'est de se soutenir pour que chacun leur tour les groupes foutent un peu le boxon aux quatre coins de l'hexagone. Après un premier disque en 2014, Storm Orchestra balance à nouveau du son avec un nouvel EP : Bite the bullet (petite référence à Motörhead sans aucun doute).
"When I touch your" est une formule classique et bien rodée. À coup de riffs explosifs, Storm Orchestra se jette rapidement dans le sujet. Au micro, la mélodie est complémentaire à l'énergie dégagée. Un mélange de sensualité et de rage qui colle à la peau du clip. Avec son ambiance loufoque, la vidéo se joue dans un bordel de cave où l'on vient pour un moment de jouissance avec son instrument préféré. "El tyrano" est de la même envergure : Storm Orchestra joue les valeurs sûres. Après une introduction au piano, le groupe nous surprend avec un featuring du rappeur Crazy Joe. Avec un temps largement partagé au chant, l'intervenant parvient à faire prendre un virage à Storm Orchestra pour le projeter dans une autre dimension. Se revendiquant autant de Led Zeppelin que de Royal Blood, la formation parisienne revient sur ses bases de départ pour finir sur un "Blown" gonflée au stoner.
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