Overhead est une formation pop-rock yvelinoise dont le cerveau se nomme Nicolas Leroux. Après le retour d'un long séjour à Londres, ce guitariste auteur-compositeur monte ce groupe en compagnie du batteur Christophe Demaret et du bassiste Jean-Claude Kebaili. Nait alors un premier album qualifié de jazz-rock en 2002 intitulé Silent witness qui paraît chez Naive. Par la suite, Nicolas prend la batterie, se sépare de ses deux acolytes et les remplace par le guitariste Chakib Chambi et le bassiste Richard Cousin. Overhead prend alors une direction très pop anglaise qui se découvre sur No time between, excellent deuxième album sorti en 2004. Puis en 2005, Nicolas Leroux rend son contrat à son label qui ne le trouve pas assez rentable. Il monte alors son studio et produit trois albums d'Alexandre Varlet, ainsi que son album solo sorti en 2008. C'est en toute indépendance artistique qu'il reprend les affaires avec Overhead en 2012, d'abord en avril avec un EP nommé Facing the grim puis avec Death by monkeys, un LP sorti en septembre. Ses nouveaux compagnons de jeu se nomment Benoît Guivarch de Carp et Antoine Pasqualini d'Arch Woodmann.
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Overhead discographie sélective
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Death by monkeys
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Overhead / Chronique LP > Death by monkeys
Le retour d'Overhead après huit ans de silence discographique suscitait de nombreuses questions dont la plus évidente : où en est donc cette formation liée au destin d'un seul homme à savoir Nicolas Leroux ? La solution la plus logique était peut-être de se tourner vers Stone age, son album solo sorti en 2008. Ou se fier tout simplement à Facing the grims, l'EP sorti en avril signant le grand retour du groupe et censé préparer la sortie de ce Death by monkeys. Ces deux disques de pop-rock démontrent d'emblée à leurs écoutes que la voix de Leroux, qui faisait l'alchimie d'Overhead, est restée totalement intacte, glaçante, magique et touchante. Si les compositions de l'EP m'avaient un peu laissé sur ma faim entre bon ("The destroyer", "The wonderer") et passable ("Other dissidents", "Facing the grim"), Death by monkeys remonte néanmoins le niveau sans toutefois arriver à bouleverser comme sur un certain No time between. La faute à des titres plus longs à digérer par leur exigence car la qualité, elle, reste bien au rendez-vous.