Les Nirvana ont été élevés à la graine Punk et aux fondements Pop, dans la ville paumée et morne d'Aberdeen. Alors pour se distraire deux glandus forment un groupe pour se marrer, Krist Novoselic, un grand tout mince avec une grande gueule et un petit gars qui a plein d'idées... Kurt Cobain. Ce dernier n'a pas du tout la carrure d'un héros, ni la prétention de porter sur ses petites épaules toute la misère de sa génération, même si c'est ce que plus tard on voudra lui faire endosser.
Pas mal de cordes usées plus loin, voilà nos deux musicos avec un batteur, Chad Channing et un album, plein de fouge juvénile, en boîte pour 606.36 $. Bof, brève apparition dans les médias, mais sans plus... Pourtant Bleach c'est du concentré d'énergie.
On troque Chad contre un bourrin avec des cheveux longs, Dave Grohl et c'est parti : ça pédale à la batterie, ça tonitrue à la basse, ça fait du bruit avec une guitare à 2 sous et surtout le plus important, c'est pour une fois une putain de musique qui exprime des sentiments dans ses chocs, ses soubresaut, ses crescendos rageurs...
Bon, Après pas mal de peaux de batterie après, les deux paumés et le bourrin mettent dans la douleur de ce bas monde Nevermind ! Bingo ça va remuer dur dans les médias... Hélas beaucoup trop...
Notre cher Kurt Cobain se marie avec la délicieuse Courtney Love (Hole) et certains diront que les ennuis commencent.
Las, Douleur et Peine sont les fins mots de l'histoire du nihilisme de Kurt et de sa bande, après un In utero qui retourne l'âme. Après moult drames, tout le monde connaît la triste fin de celui qui avait le don de vous ouvrir un peu les yeux.
Infos sur Nirvana
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Nirvana discographie sélective
lp :
The God slayer
...
ep :
Brothers in farms
...
lp :
TriptyK live
...
dvd :
Live ! tonight ! sold out !
...
compil :
Sliver
...
cddvd :
With the lights out
...
lp :
From the Muddy Banks
of the Wishkah
...
lp :
Unplugged in New-York
...
lp :
In Utero [Réédition]
...
lp :
Incesticide
...
lp :
Nevermind
...
lp :
Bleach
...
Nirvana dans le magazine
Numéro :
Mag #10
C'est le dixième alors on a voulu en mettre un gros coup et proposer pour ce nouveau numéro du W-Fenec Magazine un programme de patrons avec rien moi...
Nirvana sur les forums
Forum :
Nouveau nouveau
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Salut à tous,
Je m'appelle Jeremy et je suis originaire de Liège et j'ai 28 ans J'ai monté un petit groupe rock avec des copain. On est branché surtou...
Forum :
Les 50£ à dépenser
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Salut,
voilà, on m'as offert un chèque-cadeau de 50£ (~50€ pour faire facile) pour l'équivalent de la fnac anglaise (HMV, mais attention avec un vrai...
Forum :
Top niveau et relativité
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Je profite d'un sujet vu à propos d'une chroh ttp://www.w-fenec.org/rock/incubus,623,un-cul-d-bus.html, qui, je pense, amène de bonnes questions :
Un ...
Liens Internet
- mygmusique.com : webzine rock
- Métalorgie : webzine punk-métal
- Coreandco Webzine : Le zine qui en veut en-core...
Rock > Nirvana
Avril 2019, Notre-Dame de Paris brûle. Tous les médias exceptés peut être Nostalgie et Rire et Chansons traitent de cette actualité. Il paraît que le cœur des Français pleure. Il paraît qu'au moment où la charpente de la cathédrale disparaît, c'est une partie de notre histoire qui part en fumée. Quasimodo ne va plus avoir de maison. Quasimodo va pointer au chômage. Dieu n'est pas intervenu pour autant. Il valait mieux que le bruit couvre le monde pour oublier. Effacer l'idée que la planète se réchauffe bien trop, que l'intelligence collective fond comme la banquise, qu'il neige du plastique dans les Pyrénées, que les élites méprisent le peuple, que la guerre de l'eau se prépare et que 25 ans plus tôt un gamin d'Aberdeen se collait une balle dans le siphon (peut être pour ne pas voir tout ça). Tout passe dans l'encre des journaux sauf le dernier. Quelques lignes pour lui...
Il était né dans un enfer qui sentait la pluie, la moisissure et la colle à plein nez. Un miroir de la Cour des Miracles. Là-bas, le bon air brillait par son absence et les corbeaux volaient sur le dos pour ne pas voir la misère. Il aurait pu aller à l'usine mais il n'avait pas l'étoffe du bonhomme qui porte le tablier et les gants toute une vie. Il avait mal au ventre et c'était sans doute la rage qui le consumait debout. Un exutoire était une urgence pour un garçon pareil. Ce aurait pu être la drogue ou le rock. Ce fut les deux.
500 dollars et une timidité à tourner le dos à son public, c'est pas lourd pour enregistrer un album. Et pourtant, il grimpait au Nirvana pour la première fois avec un truc qui sentait la javel à dix kilomètres à la ronde. Les Melvins rodaient dans le fond de l'histoire. Le grunge naissait de cet élan sombre et intense laissant dans son sillage des morceaux comme "Floyd the barber", "About a girl", "Love buzz" et "Negative creep". La folie des concerts a pris, le rythme s'est emballé.
Nous avons parfois la sensation qu'une vague arrive. Cela dit, la hauteur de la vague ne se mesure qu'au moment où elle est sur nous. Quand Nervermind a débouché du tuyau c'était une déferlante. Le nouveau batteur (en la personne de Dave Grohl) cognait comme un sourd et les ondes du séisme allaient se mesurer sur plus d'un siècle. Cobain, devenait incontrôlable tandis que la génération X sortait de terre, criant l'abandon de ses parents. Le gamin d'Aberdeen devenait un demi dieu qui fixait dans le marbre l'adolescence et l'esprit rebelle pour toujours. Il était parti de rien. Il avait tout. Il avait trop.
Les bootlegs, les cassettes (eh oui, c'est encore l'époque) se multipliaient. Le moindre jean troué collectionnait les Outcestides dans toutes les versions possibles. Les Lives circulaient pour gratter le petit accord différent, le morceau inédit. Une compilation de reprises, un concert acoustique c'était du pain béni.
Ses tripes étaient posées sur la table et tout le monde applaudissait. Sa douleur a d'abord trouvé son apaisement dans la blanche et la musique. La Faucheuse aiguisait tranquillement sa lame. Dans un dernier effort, Cobain poussait son dernier cri. Juste après la machine déraille, l'incident se casse la gueule. Le voyage à Rome est un coup d'essai. Le retour à Seattle est fatal. Cobain qui savait magnifiquement foutre le bordel envoyait balader le monde dans un immense chaos une dernière fois. Un instant plus tard, la radio crachait "Cobain est mort, Cobain est mort".
Depuis ce jour-là, un bon paquet d'orphelins sont restés sur les bords de la Wishkah et Dieu n'est pas intervenu pour autant. C'est peut-être qu'il n'aime pas le mois d'avril ou c'est peut-être qu'il n'existe pas. Prions que ceux avaient vu Satan en Cobain ne voient pas l'œuvre du Créateur dans l'épaisse fumée de Notre-Dame. Espérons un réveil, un électrochoc pour les années à venir. Ne détournons pas les yeux de nos actes. L'autre ne descendra jamais de sa croix pour sauver qui que ce soit et c'est pareil avec ses homologues.
Cobain, Rest In Peace
Biographie > Nirvana
Chronique Livre : Nirvana, Nirvana In utero
Nirvana / Chronique LP > Montage of heck
Plus de 20 ans après sa mort, certains arrivent encore à faire de l'argent avec Kurt Cobain... Même si au départ, l'idée de Brett Morgen était de réaliser un documentaire "assez vrai" pour nous dépeindre la jeunesse et les tourments du leader de Nirvana au travers des témoignages de ses amis, sa famille, de scènes tournées sur des lieux emblématiques et la mise en action de travaux artistiques pas uniquement musicaux, ce superbe documentaire accouche aujourd'hui d'un "album" voire même d'un "album collector". Universal n'a même pas eu à faire les fonds de tiroir puisque les "sons" étaient utilisés dans le documentaire. Utiles à la narration et à créer une ambiance sonore, ces premiers bouts de Nirvana n'ont pourtant, une fois sortis de leur contexte, que peu d'intérêt.
Ici, on se contente de la version "normale", deux fois moins longue (une grosse demie heure) que la version deluxe, boîtier cristal, une page pliée en deux, il ne faut pas chercher une plus-value dans le packaging et se focaliser sur la musique. Enfin, sur des pistes récupérées au fin fond des archives de Kurt Cobain et suffisamment bien retravaillées au mixage pour qu'elles soient audibles du plus grand nombre. On a donc 13 plages avec des idées farfelues, des pains, des bruits de fond et quelques bribes de titres qui deviendront des hymnes pour toute une génération. Les fans hardcore de Nirvana ont donc un nouveau disque (enfin deux puisque le fan hardcore achètera les deux versions) à ajouter dans leur collection... Mais pas de son vraiment nouveau puisque beaucoup de ces titres sont déjà parus sur différents bootlegs (les fameux Outcesticide) ou dans le coffret With the lights out. La très vieille démo de "Been a son" ou la reprise de "And I love her" des Beatles peuvent avoir un embryon d'intérêt mais ça ne fait pas un album.
Et c'est là qu'est le principal souci avec cette bande-son de Montage of heck, pourquoi pas sortir une version collector assez limitée mais classieuse pour accompagner le DVD, on peut imaginer aisément un joli packaging avec le DVD, le CD, un livret, des photos... De ce côté-là, l'inspiration ne manque jamais et certains "coffrets" de ce genre sortis ces dernières années sont sacrément bien foutus. Mais pourquoi ne sortir que ce CD avec 13 pistes ? Une sorte d'album bâtard mis en avant comme si on allait découvrir Kurt Cobain sans faire d'efforts ? Soit on est fan de Nirvana et on veut un truc en béton, soit on n'est pas méga fan et on n'a pas besoin de cette galette (sauf si on collectionne tout). Bref, garde tes sous pour le DVD si tu veux que le blondinet grunge te procure encore des émotions...
Nirvana / Chronique LP > In utero [Réédition]
Depuis la fin de l'année 1991, le monde musical n'a plus qu'un nom à la bouche : Nirvana. Nevermind est rapidement dans la légende (qui peut se permettre de dégager Michael Jackson du premier rang des ventes ?) propulsé par le tube "Smells like teen spirit", la génération grunge est née pour le plus grand malheur du maladif Kurt Cobain qui n'apprécie guère le monde du business et qui doit désormais vivre avec. Le label, lui, se remplit les poches en sortant Incesticide mais après avoir redécouvert Bleach, la planète attend du frais... Le trio se reforme pour bosser avec Jack Endino mais c'est Steve Albini (vénéré par Kurt pour le boulot qu'il a réalisé sur Surfer rosa des Pixies, son disque de chevet) qui aura la tâche d'enregistrer loin de tout le brûlot voulu par Kurt, le tout quasiment secrètement car en pleine cambrousse, sous un nom d'emprunt et avec l'argent du groupe. La plupart des titres seront captés "live" et tous seront mis en boîte en moins d'une semaine. La suite prendra de longs mois et verra s'affronter tout le petit monde qui gravite autour du groupe quant au "son" qu'In utero devrait avoir, le mixage d'Albini faisant débat... Les heurts à ce sujet n'aident pas Kurt à sortir de la drogue et de son mal-être, ça, c'est facile à écrire 20 ans après la sortie de l'album (septembre 1993) quand sortent plusieurs éditions en "version deluxe" de ce qui est le dernier album de Nirvana dont la tournée européenne ne s'achèvera jamais...
In utero se compose de douze titres abrasifs au son sourd, distordus à l'extrême, portés par un chant souvent criard et une rythmique qui va plus chercher le tempo du côté de "Territorial pissings" que de "Something in the way", seuls les singles "Heart-shaped box" (écrit pour Courtney Love à qui on doit aussi le titre de l'album), "All apologies" et "Pennyroyal tea" semblent pouvoir être diffusables en radio sans qu'on ne cherche à régler sa fréquence, c'est un peu crade mais c'est tout ce qu'on voulait écouter à l'époque et surtout, la puissance des mélodies et des accords suffit aux morceaux, pas la peine de les enrober et de les formater pour qu'ils nous touchent. Cobain n'a pas son pareil pour décocher la petite ligne de chant qui accroche ("Serve the servants"), le riff saturé qui éclate les oreilles ("Scentless apprentice") ou le titre qui fera parler de lui avant même de l'avoir entendu ("Rape me"). Nirvana se permet tout, aussi bien de balancer des déflagrations punkisantes ("Milk it", "Tourette's") qu'une promenade pop ("Dumb"), comme si le groupe voulait absolument faire chier sa maison de disque et l'establishment en général, de toute façon, refaire un Nevermind était impossible... La vie du trio ayant été totalement bouleversée, In utero en porte les marques ("Serve the servants", "Rape me", "Frances Farmer will have her revenge on Seattle", "Radio friendly unit shifter"...) et ne peut donc être l'album d'une génération, c'est celui d'un groupe superstar qui ne voulait pas l'être.
Cette réédition collector en plusieurs versions offre à la base l'album original qui a bénéficié d'une remasterisation, ensuite s'ajoute un tas de bonus selon la dépense... Les plus fans et riches se sont offerts la version triple CD, single coeur "Heart-shaped box", DVD, vinyl, notes, affiches, photos et livre de grande classe... Pour cette chronique, on va uniquement détailler la version digipak double CD mais si quand tu lis ces lignes tu hésites encore, on te conseille la version avec le DVD.
Le premier CD est donc l'album remasterisé, avec pour remplir le disque, 8 autres pistes que les amateurs avertis connaissent certainement déjà (comment oublier la cultissime série de pirates Outcesticide ? A y repenser, c'est typiquement le genre de quête devenue incompréhensible avec l'avènement de l'internet haut débit...). Ca attaque après "Gallons of rubbing alcohol flow through the strip" (le titre caché qui n'était pas présent sur l'édition américaine) avec les faces B des deux singles à savoir "Marigold" (écrit et chanté par Dave Grohl, le titre préfigure ce qui sera Foo Fighters) et "Moist vagina". Les vrais inédits déboulent ensuite et pour cet anniversaire, les petites perles sont les travaux de Litt pour "Pennyroyal tea" (la version "single" de ce titre a été retiré des bacs quelques jours après sa sortie qui a coïncidait avec le suicide de Kurt) et d'Albini pour "Heart-shaped box" et "All apologies", les arrangements et les mises en avant (chant, basse) diffèrent et on imagine bien les directeurs artistiques se pignoler dans leurs bureaux pour savoir quelles versions mettre sur le marché... Mine de rien, c'est un peu d'histoire qui nous est délivré... Il en va de même de la complainte "Sappy" (aussi connue sous le nom de "Verse/ Chorus/ Verse"), un des plus vieux titres composés par Cobain et qui donne assez bien son état d'esprit ou du célèbre "I hate myself and want to die", phrase répétée par Kurt à qui voulait l'entendre et morceau retiré du track-listing de l'album pour éviter les problèmes en cas de passage à l'acte de l'auditeur... Après coup (de feu), c'est le titre qui colle le mieux à la série de photos du leader de Nirvana "jouant" avec un flingue... Ces deux derniers ainsi que "Moist vagina" bénéficient d'un nouveau mixage réalisé cette année.
Le deuxième album, le jaune, donne carte blanche à Steve Albini pour remixer ses prises 20 ans après ! C'est donc avec un mixage réalisé en juin 2013 qu'on redécouvre les titres de Nirvana, le son est plus direct, les basses moins sourdes, l'équilibre de l'ensemble est mieux dosé (exit certains arrangements boursouflants), c'est beaucoup plus moderne ou en tout cas proche de l'idée qu'on se fait de Nirvana aujourd'hui et c'est un vrai plaisir de goûter à ce travail qui plaira particulièrement aux fondus du son. Même aux profanes, il sera difficile ensuite de revenir à la version de 93... Là encore, 10 plages bonus garnissent la galette, ce sont des démos enregistrées (essentiellement par Endino) pour préparer l'album, la plupart sont instrumentales uniquement. Les plus intéressantes sont peut-être celles de "Marigold" qui date de 1990 (Dave attendra donc 3 ans pour voir une de ses créations apparaître chez Nirvana et bien plus pour que tous ses talents soient reconnus), "Forgotten tune" (qu'on peut traduire par "morceau oublié") et un "Jam" (qu'on peut traduire par "improvisation"), deux pistes assez méconnues et qui seraient restées aux oubliettes si Nirvana avait continué d'exister et était aujourd'hui devenu un groupe de dinosaures avec une dizaine d'albums studios sous le bras... Au lieu de ça, 20 ans après (bientôt...), on est encore triste à l'évocation de ce mois d'avril 94 et on a du mal à sourire en regardant les photos d'un Kurt insouciant, déconneur et jeune à jamais.
Nirvana / Chronique LP > With the lights out
Avant d'être un somptueux coffret collector, avant d'être un objet qu'on met en valeur, avant d'être la compilation de raretés que beaucoup réclamer, With the lights out est une arme de destruction massive. Une bombe pour l'industrie pirate qui avait fait de Nirvana une de ses poules aux oeufs d'or, la cultissime série des Outcesticide étant certainement une des plus vendues sous le manteau (enfin un manteau grand ouvert tant il était facile de se les procurer...), ce sont ainsi 6 albums et plus de 130 titres rares et inédits des icônes du grunge qui faisaient frémir les fans qui avaient du se contenter d'Incesticide pour étancher leur soif de grunge.
En 2004, pour Noël, la maison de disques sort ce coffret regroupant trois CDs et un DVD de raretés et d'inédits (certains titres n'étant pas sur les Outcesticide !) accompagné d'un classieux livret avec les dates importantes de la vie du groupe, des photos, des notes et des textes de Thurston Moore (Sonic Youth) et Neil Strauss (journaliste à Rolling Stone), un ensemble brillant à tous les niveaux... mais épuisé en moins de deux ! Au printemps 2009, la "box" est rééditée pour que ceux qui l'avaient ratée au premier tour puissent se rattraper... Si tu ne l'as pas encore, c'est que soit tu n'es pas super fan de Nirvana, soit tu hésites encore un peu car ça coûte plus cher qu'un CD classique... Mais ce n'est pas un CD classique... Ce sont trois galettes qui chronologiquement nous font revivre le phénomène Nirvana et montrent l'évolution du combo depuis ce "Heartbreaker" capté lors de leur premier concert de mars 1987 au 17 de la Nussbaum Road où avait lieu une fiesta jusqu'aux versions acoustiques de "You know you're right" "All apologies" (1994), 7 ans en 61 plages avec parfois un son pourrave, souvent de la rage et toujours ce petit truc en plus... Sur le DVD, là encore, on trouve du lourd avec la vidéo d'une répète chez Krist en 1988, le groupe bosse sur Bleach et ne se doute pas qu'il va devenir le plus grand groupe de rock du monde 3 ans plus tard, les 9 autres titres présents en images sont des lives captés lors de mini concerts dans des cafés, des magasins, en studio et un paquet de plans de la vie foireuse qu'ils vivaient en 1989, que du mythique !
Chronique Livre : Nirvana, La véritable histoire