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31/01/23 Balls Out fan de MILF ? : Balls Out a sorti Volume 2 : hot mom le 20 janvier. Il s'écoute en intégralité sur BandCamp.
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25/01/22 Mag #49 : EZ3kiel est de retour ! : Ce premier numéro de 2022 présente bien entendu nos MAOTFA mais ce ne sont que 4 pages sur les plus de 160 que comporte ce Mag #49 ! A l'honneur, Ez3kiel(...)
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Numéro :
Mag #55
Retour aux affaires courantes ? Après la fête de nos 25 ans, oui, mais non, car chaque mag est une nouvelle aventure et quand on rencontre dEUS, c'est un groupe culte qui s'invite dans nos pages !
Ah !!! En bon supporter du Racing Club de Lens, j'ai un peu de mal avec Nice cette année. Mais je veux bien faire une digression à ce principe purement footballistique en ce qui concerne Balls Out. Je les aime bien ceux-là. Si tu as bonne mémoire (que tu peux te rafraîchir sans difficulté en feuilletant le numéro 49 du Mag), je t'avais parlé du premier volet d'une trilogie entamée par Balls Out sur l'autoroute de l'enfer du rawk 'n' rawl. Le volume 2 vient d'arriver, et il sent le soufre comme le premier (que je vais m'empresser d'aller réécouter). Ça bourre à toutes les plages même si l'intro acoustique de la première ("Have a seat on me") m'a donné quelques sueurs froides. C'est lourd, ça riffe sans retenue et ça donne envie de mettre le son à fond. Encore une fois, c'est Motörhead et Nashville Pussy qui viennent à l'esprit, mais aussi Black Sabbath une fois le solo de "Bite the pillow" enclenché. Les allergiques au chant roc-k-ailleux passeront leur tour, les amateurs de sueur remercieront le quatuor sudiste de raviver la flemme du rock. Et en attendant impatiemment la fin de la boucle avec le prochain EP, comme on dit chez nous, dins ch'Pas d'Clais, Allez Lens et vive le sport.
Tant qu'il y aura des groupes comme Balls Out (tu sais, le quatuor rock'n'roll Niçois dont le premier album sans concession avait fait l'objet d'une chronique dans le numéro 38 du W-Fenec mag) qui s'évertueront à produire du rock'n'roll qui tache ;
Tant qu'il y aura des groupes comme Balls Out qui rendront hommage, avec leurs morceaux survitaminés et des voix rocailleuses, aux iconiques Lemmy et AC/DC ;
Tant qu'il y aura des groupes comme Balls Out qui continueront de jouer LE ROCK avec leurs tripes comme les rejetons de Nashville Pussy ou Airbourne savent le faire ;
Tant qu'il y aura des groupes comme Balls Out qui se contrefoutront des modes et resteront attachés aux valeurs qui sont les nôtres, à savoir : l'énergie, la saturation, des guitares à foison, des solos incandescents et les rythmiques endiablées.
Bref, tant qu'il y aura des groupes comme Balls Out qui sortiront des EP de la trempe de Volume 1 : Get dirty (premier d'une trilogie en cours), le monde n'est pas foutu. Solide sur ses appuis, le groupe délivre quatre brûlots d'une efficacité redoutable. Clairement, ça risque de te faire remuer ton popotin comme jamais en attendant la suite des réjouissances le plus vite possible. C'est un ordre !
Balls Out / Chronique LP > Let me in (I know someone inside)
Décidément, je suis gâté pour ce numéro du W-Fenec Mag. Mon rédac' chef m'a fait passer plein de disques de rock'n'roll. Je ne vais pas me plaindre, surtout quand s'est glissé dans le tas des skeuds à chroniquer le premier album de Balls Out, quatuor de Nice. Adepte du rock mi tempo inspiré par < rubrique>AC/DC et Kiss, et dans un style assez similaire à Clutch (en lorgnant parfois du côté de Airbourne ou Nashville Pussy), Balls Out, sans surprendre, te fera sans aucun doute passer 28 minutes d'enfer en revisitant les bases du rock qui tache : énergie, bon esprit, riffs implacables (et impeccables), chant burné et mélodies endiablées. Aussi à l'aise en jouant vite (le très Motörhead "Drumstick sucker") qu'en ralentissant le tempo (les AC/DCiens "Rock all day" et "Moaning hard"), Balls Out maîtrise son sujet sans le révolutionner, et au-delà d'un titre en particulier se distinguant des autres, c'est plutôt l'homogénéité et l'efficacité des huit brûlots qui domine. Incontestablement le genre de groupe à voir en live et à écouter fort, très fort, chez soi.
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