Stone Sour, l'album éponyme de deux membres de Slipknot qui retrouvent leurs vieux potes (les mêmes potes qu'ils avaient lâché pour former Slipknot étant donné que Stone Sour ne donnait rien...) sortà la fin du mois d'août 2002... Tout était là pour me faire détester ce groupe, à commencer parce qu'il était recomposé pour diversifier le catalogue de produits estampillés du S tribal (attention celui de Slipknot, pas celui de Sepultura !). Mais ... incroyable mais vrai : j'apprécie Stone Sour !!! C'est dingue non ? Faut dire que ça n'a pas grand chose à voir avec les têtes de noeuds masqués, cet album éponyme devrait même décontenancer les Slipknotofans assourdis par Iowa ou alors, lueur d'espoir, devrait pouvoir leur ouvrir l'esprit sur le rock et leur faire comprendre que leur âge de rebellion est bel et bien passé et qu'il y a d'autres moyens de se faire une place dans la société que celui de faire comme tous les petits rebelles de service ! Allez les petits, on revend son immonde T-Shirt capuche Slipknot aux puces et on achète des disques pour se faire sa propre culture musicale, le Stone Sour par exemple, parce que derrière lui se cache des monstres des 70's et du début des 90's...
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Stone Sour aux Eurocks (2003)
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Stone Sour discographie sélective
lp :
Hydrograd
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lp :
House of gold & bones Part 2
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lp :
House of gold and bones Part 1
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lp :
Audio secrecy
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lp :
Come what(ever) may
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Stone Sour dans le magazine
Numéro :
Mag #29
Comme le rock ne prend pas de vacances, on se retrouve avec à nouveau près de 100 pages d'articles pour ce Mag #29 et une tripotée d'interviews dont celle d' Ultra Vomit, Death Valley High, The Algorithm, Ending Satellites, Pastors of Muppets et Smash Hit Combo.
Liens Internet
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Métal > Stone Sour
Biographie > ça rend sour...
Stone Sour / Chronique LP > Hydrograd
Il y a 15 ans, je découvrais en Stone Sour un groupe capable d'écrire de vrais titres avec ce qu'il faut de mélodies et de rage et je m'interrogeais sur le futur de ce side-project radicalement différent de Slipknot. Les quatre albums suivants ont plutôt plaidé la cause du job d'été, celui où sans trop te casser le cul, tu amasses de la thune pendant les vacances des autres. Depuis 2013 et le mi-figue mi-raisin House of gold & bones Part 2, Jim Root a quitté le navire (remplacé par Christian Martucci) et le combo a sorti 2 EPs de reprises trop respectueuses de leurs aînés (Alice In Chains, Black Sabbath, Judas Priest, Metallica, Iron Maiden, The Rolling Stones, Slayer...) pour être intéressantes. Quid de cet Hydrograd ?
Le nom, la couleur, le design, les typos sont à la mode soviétique mais ce n'est pas un album sur la guerre froide ou les liens entre Trump et Poutine, c'est surtout une déco cool. L'album démarre plutôt bien avec une intro instrumentale pas trop mal ("YSIF") et un "Taipei person / Allah tea" très rock sur le refrain (avec un chant pas loin de Foo Fighters) et bien rentre-dedans sur les autres parties. Et alors qu'on pense enchaîner avec un deuxième titre du même acabit avec "Knievel has landed", grosse déception avec le chorus et ses choeurs tout pourraves, vraiment dommage car le reste et la dynamique générale envoient du lourd. Il y a comme ça plusieurs titres qui semblent sabotés par des mauvais choix alors qu'ils tenaient la route dans leur structure (quelques lignes de chants sur "Fabuless", des solos téléphonés un peu partout) et d'autres qui sonnent moyen ("Song #3", "Rose red violent blue (This song is dumb & So am I)"). Stone Sour nous sert également notre ration de morceaux larmoyants en douceur plus ou moins bien sentie ("When the fever broke" plus touchant que "The witness trees" ou "St. Marie"). Ce qui fait l'intérêt de l'opus, c'est sa deuxième partie avec un excellent "Mercy" et le hat trick plus bourrin "Whiplash pants", "Friday knights" et "Somebody stole my eyes", le dernier tiers de la galette est donc de très bonne facture et quand on y ajoute les compositions correctes (voire même très bonnes comme "Hydrograd"), le quintet obtient une moyenne honorable, en tout cas bien plus satisfaisante que celle de ses dernières sorties.
Dans la guéguerre qu'ils mènent avec Nickelback, Stone Sour n'a pas de leçon ni à donner ni à recevoir, les deux groupes ont des histoires et des approches différentes et sont tous les deux capables d'écrire quelques bons titres comme des trucs imbuvables.
Publié dans le Mag #29
Stone Sour / Chronique LP > House of gold & bones Part 2
En musique comme au ciné, quand un truc marche, on fait une suite. Et quand ça ne fonctionne pas terrible (surtout artistiquement), parfois on en fait quand même un deuxième. Surtout si "on" avait prévu un diptyque à la base. Le "on", c'est présentement Stone Sour qui après un House of gold & bones part 1 fort poussif livre cette fois sa "séquelle", logiquement baptisé Part II. Là, ça y est tu trembles? Oui, tu as raison... sauf que le "Red city" inaugural est curieusement une très bonne surprise. Pas non plus un chef-d'oeuvre mais par rapport à ce que l'on redoutait, on est très loin du compte avec une ballade rock ténébreuse bien ficelée avec un climax métallique et rageur qui met tout le monde d'accord.
Stone Sour sortirait-il de la cave ? Euh, ne nous emballons pas non plus trop vite. Parce que dès "Black John", on redescend déjà d'un cran. Sauf que cela reste encore plus que convenable. Catchy et mélodique mais pas trop mainstream, quelques grosses ficelles mais on reste à des années lumières de la daube marshmallow entrevue chez le groupe ces dernières années et c'est déjà pas mal. Alors on se dit que peut-être... sauf qu'on se le dit pas longtemps, le groupe revenant à ces poncifs avec un "Sadist" soporifique au possible et un "Peckinpah" un peu pompier (mais relativement efficace tout de même). Certes le groupe essaie de se retrouver un peu, d'instaurer des atmosphères, d'élaborer une trame musicale qui tienne la route et à bien des égards la démarche est louable. Mais avec un petit peu de talent supplémentaire ce serait quand même mieux.
La meilleure preuve reste "Stalemate" pour lequel on sent bien que les Américains ont essayé... même si le résultat reste poussif. Sans doute parce que Stone Sour fait en réalité partie de ces groupes qui ont malheureusement besoin de forcer leur talent pour réussir de belles choses là où d'autres ont l'aisance naturelle. A croire que Corey Taylor et sa bande s'en rendent compte, ils lâchent un "Gravesend" très honorable mais ne vont pas au bout de la démarche et commettent "'82", "The uncanny valley" ou "Do me a favor". Là encore, on évite le fiasco du House of gold & bones part 1 mais c'est assez paresseux et surtout alourdi par des soli clichesques à souhait. Comme s'il s'était coincé le riff entre deux chaises, partagés entre un concept artistique plutôt intéressant (les deux albums seront suivi d'une série de comics book en 4 volumes) et la nécessité de pondre un album de quasi major. Jusqu'à se fourvoyer dans les grandes largeurs avec l'infâme "The conflagration", arrangements à cordes pachydermiques et mélodies guimauve à souhait, on touche de nouveau le fond et on est obligé de passer à la suite en vitesse parce que la corde n'est pas fournie avec le CD.
Si bien qu'on ne parle pas du morceau-titre final parce qu'il faut quand même penser à se remettre... (bon en fait si, il se laisse plutôt efficacement écouter).
Stone Sour / Chronique LP > House of gold & bones Part 1
Alors que Slipknot a annoncé sa mise en hiatus à durée indéterminée (qui vient de hurler de joie au fond de la pièce, on a entendu jusqu'ici ?), voici que Stone Sour, l'autre projet du chanteur des têtes de nœud de l'Iowa remet le pied à l'étrier deux ans après un Audio secrecy pas franchement convaincu et six après un Come what(ever) may clairement bancal. Bon en clair depuis le premier album, éponyme et plutôt très bien foutu, du groupe, le vrai/faux side-project des Knots bat pas mal de l'aile. Ce qui ne l'empêche pas de faire partie des meubles de Roadrunner depuis racheté par Warner Music mais ça, c'est déjà une autre affaire : aujourd'hui, les pierres qui ne roulent pas livrent avec House of gold & bones Part I, le premier volet d'un diptyque dont le second épisode (jusque là c'est logique) sortira l'année prochaine.
"Gone sovereign", "Absolute zero" puis "A rumor of skin", on ne s'embarrasse pas des détails et on enfile la première fournée de titres pour se rendre compte de ce que l'on redoutait un peu, à savoir que Stone Sour en 2012, c'est du rock US sans vraiment d'âme, ni réellement de puissance, pas plus que de mélodies accrocheuses. En clair, juste du rock FMisé qui s'offre aussi une mini-ballade de 2'21 avec "The travelers pt.I" (sans intérêt) pour enchaîner ensuite avec un "Tired" qui synthétise tout ce qu'est Stone Sour avec House of gold & bones Part I : fade, sans inspiration et tournant à vide, en laissant Corey Taylor faire son numéro pendant que les musiciens derrière assurent le minimum syndical (et encore on est généreux là). Quand en plus il y a des arrangements à cordes d'une pauvreté incroyable, on est à deux doigts de couper le compteur.
Parce qu'on n'a encore écouté que cinq titres et qu'il y en a quand même onze (et donc un deuxième album derrière à venir quand on aura oublié celui-là, merci ceux qui ont suivi), on expédie la suite et là petite surprise, cela se révèle un peu plus mordant sur un "RU486" qui ne casse pas non plus des briques, mais qui au moins, a le mérite d'envoyer un peu la sauce façon punk-rock métallique burné. Ce n'est pas encore la panacée, mais Stone Sour reste crédible. Pour mieux ralentir le moteur sur "My name is Allan" (poussif) et de faire le coup de la panne sèche avec la ballade pour blockbuster hollywoodien de série B (voire Z) "Taciturn" avant de se ridiculiser sur "Influence of a drowsy God", comme frappé par le syndrome Muse version rock presque couillu. Soit le coup du "j'en fais trois tonnes niveau grandiloquence de toutes les façons, plus c'est gros plus ça passe". Sauf que là non. Plus de doute maintenant, on se dirige vers un four intégral et comme les Américains n'ont pas envie de nous contrarier, ils n'en rament pas une et remplissent la fin de l'album avec "Travelers pt.II", du genre plus chiant tu meurs puis "Last of the real" R.I.P parce que finalement, vu que la quasi intégralité des titres était déjà à jeter, autant y aller jusqu'au bout histoire de larguer tout le monde en route.
Non mais sinon, ils sont vraiment sûrs de faire une suite là ?
Stone Sour / Chronique LP > Audio secrecy
Depuis presqu'une décennie, Corey Taylor alterne entre Stone Sour et Slipknot, un peu comme les Jeux Olympiques et la coupe du monde de foot, on a le droit à un album tous les 2 ans et donc un hiatus de 4 entre deux moyennement bons (les Stone Sour) et les purges (Slipknot dont c'est toujours le "dernier" album avant la fin du combo... dont on peut toujours rêver mais qui ne devrait pas arriver de si tôt). Eté 2010, c'est le mondial donc c'est une année rock burné, c'est celle d'Audio secrecy.
Un de leurs potes (ou l'un d'eux ?) a du lire Dan Brown (Anges et démons) ou voir le film pour tout d'un coup découvrir les jouets des illuminati sauf que leurs ambigrammes étaient un peu plus lisibles que ce titre d'album sur une pochette qui se lit dans les deux sens, ou plutôt se déchiffre dans les deux sens tant la lecture est difficile, admettons quand même que c'est plus difficile de retourner Audio secrecy que ABBA, Mayhem ou NIN et que l'ensemble a de l'allure. Pour rendre hommage à ces jeux de mots, j'ai placé une dizaine de palindromes dans cette chronique...
La grosse douzaine de compos est plus facile à appréhender car tout à fait dans la lignée du précédent opus, on retrouve l'énorme prod de Nick Raskulinecz (Come what(ever) may, Foo Fighters, Alice In Chains, Deftones...) et des titres taillés pour les radios US, option gros riffs et mélodies faciles, un mélange indigeste pour nos oreilles averties avides de sensations un peu plus extrêmes que ces ambiances cotonneuses préfabriquées qui rappellent le pire de Nickelback ("Say you'll haunt me") ou le suicide pop au Xanax de Silverchair ("Hesitate"). Comme par hasard, ces deux morceaux sont des singles et les seuls à être aussi gnan-gnan (avec le coup de mou "Miracles"/"Pieces") et donc peu représentatifs de l'album. Note au passage que ce n'est pas parce que le rythme ralentit que Stone Sour s'enlise, ils savent garder de bonnes idées avec un tempo modéré ("Imperfect", "Threadbare") et note encore que "single" n'est pas forcément synonyme de "grosse bouse", le plus vénér "Mission statement" est davantage convaincant avec ses solos solides...
Une fois de plus, quitte à se ressasser, Stone Sour se perd à vouloir assurer ses arrières financières (et le succès auprés de ceux qui n'ont pas l'âge légal de boire de la bière) et noie ses bonnes compositions ("Nylon 6/6", "The bitter end") à les amalgamer à des moyennes voire à des mauvaises. Audio secrecy manque d'homogénéité pour être un bon album, il s'écoute néanmoins avec beaucoup plus de facilité que n'importe quel Slipknot.
Stone Sour / Chronique LP > Come what(ever) may
Enfin, il arrive dans les bacs, ce deuxième opus de Stone Sour. Après un premier album qui avait réussi le tour de force de désespérer les kids fans hardcore du gang Slipknot et en même temps de séduire les amateurs de power rock métallique bien senti, Corey Taylor et ses potes remettent le couvert avec un album dont on pouvait à la fois espérer et craindre beaucoup. Redouter que le groupe ait cédé aux sirènes du tout marketé nu-metal calibré et sans âme, ou espérer qu'il ait su se renouveller, sans regarder derrière lui. Entre-temps rejoint par Roy Mayorga (Soulfly) qui officie désormais derrière les fûts en lieu et place de Joel Ekman, Stone Sour est désormais prêt à passer à la vitesse supérieure et c'est, affamé que le groupe débute Come what(ever) may avec l'explosif "30/30-150"... Grosse mandale métallique qui déboite et dépoussière violemment les enceintes, percutant et rentre-dedans, du bottage de cul intégral. On enchaîne avec l'éponyme "Come what(ever) may" et là on comprend que si le groupe n'a pas fait de l'originalité à tout va, il bénéficie d'une prod absolument énormissime. Un son qui rend justice à l'énergie que Corey Taylor et les siens ont mis dans les deux premiers titre de cet album et qui fait qu'au final, on en a pour notre argent. Nous gratifiant au passage de quelques solo de gratte assez brefs mais particulièrement jouissifs, nous servant quelques titres compacts, massifs, mélodiques mais gueulards, rageurs et directs ("Hell and consequences", "Reborn"). Le problème avec cet album, comme sur le précédent du reste, c'est que quand Stone Sour se décide à jouer la carte de la mélodie à fond, ça verse souvent dans le marshmallow boursouflé et difficilemment supportable au-delà des premières secondes. Sur des titres tels que "Sillyword" ou "Your God", ça passe encore, mais un truc aussi infâme que le single "Through glass" ou "Socio", ça fout en l'air l'ambiance. Et s'il n'empêche que le groupe sait très bien redresser la barre avec un hymne au headbang tel que "1st person" ou un intense "Cardiff" chargé en effets, il sait également se vautrer dans les grandes largeurs en touchant le fond sur le pesant (mais tellement romantique, sic...) "Zzxyz road". Et là, généralement, soit on brûle le CD (ce qui serait dommage au vu de certains des précédents morceaux), soit on s'arrête là, en se disant que c'est quand même stupide de commencer aussi bien et de finir aussi mal. Album tiraillé de toutes parts entre logique économique avec des titres mainstream au possible ; et volonté d'accoucher d'un album personnel entre rock et metal catchy, Come what(ever) may jongle entre le très bon et le très mauvais, l'efficace et le foutage de gueule. De quoi laisser un arrière goût d'inachevé bien que la moitié des titres sont largement à la hauteur de ce que l'on était en droit d'attendre de la part d'un tel groupe.
Stone Sour / Chronique LP > Stone Sour
Stone Sour n'a pas grand chose à voir avec Slipknot donc... Ici il y a de la mélodie, des riffs inventifs, du rythme, des vraies chansons de rock (ou de métal puisque c'est quand même bien lourd et bien envoyé !). Ceux qui ne comprennent pas l'intérêt de ne pas beugler tout le temps passeront leur route, par contre ceux qui ont vu dans "Gently" un très bon morceau vont adorer cet album. Est-ce la présence de Josh Rand (le guitariste qui a ressuscité ce groupe trois ans après sa mort) qui calme les ardeurs de Corey ? En tout cas, on est bien content de trouver un combo radicalement différent avec un #8 au chant posé, aérien et parfaitement maîtrisé. Le premier single, "Bother", est carrément une balade avec grattes acoustiques et tout, très américaine comme balade, très (trop) propre sur elle... Un titre qu'aurait pu écrire Staind par exemple ! Niveau guitares, on a le droit à des solo, des riffs très rock'n'roll voire même grunge ("Monolith") !!! Enfin, que les fans de Corey ne crient pas non plus au désespoir, Stone Sour a aussi des côté bien (néo ???) métalliques et explose tout avec "Get inside" (le deuxième single, celui qui rassure et qui fait vendre à une deuxième catégorie de gens !!!) ou "Cold reader" aux riffs chaloupés. Finalement Stone Sour redonne ses lettres de noblesse (musicales) au sacro-saint "side-project", ces derniers sont trop souvent de vulgaires tiroires sans trop d'intérêt, juste des lignes supplémentaires dans les discographies exhaustives. Ici c'est réellement une fenêtre ouverte (cf la pochette), un moyen de s'évader de la mascarade Slipknot, de démontrer au monde que ce sont aussi des musiciens avec un certain sens de la mélodie. Bref, Stone Sour est une putain de bonne surprise et une putain de bonne nouvelle ! Reste à voir ce que Stone Sour va devenir, n'était-ce qu'un "one shot", un coup d'essai pour respirer ou une réelle envie pour les quelques Slipknoteux concernés de tracer un deuxième sillon sur le disque de leur vie musicale (oh putain, comment ça kill cette phrase !!!).