Trois ans après une bande sonore mêlant avec adresse électro, nu-jazz, trip-hop, abstract hip-hop et downtempo funky dans laquelle l'unique protégé de Bellring nous informait qu'il ne voulait pas être empereur, Hugo Kant remet le couvert avec The point of no return. Le décor ne change pas ou presque pas. Le style reste fondamentalement le même bien que la place réservée aux instruments - en dehors de la sempiternelle flûte traversière mais néanmoins marque de fabrique indélébile du Marseillais - soit plus importante (batterie, guitare, contrebasse...). Zé Mateo continue à agrémenter quelques morceaux de ses précieux scratchs et, contrairement à I don't want to be an emperor, des invités étrangers sont venus apporter leurs différents registres vocaux tels que la soul swing de Kathrin deBoer (Belleruche, Bonobo), le trip-hop fragile d'Astrid Engberg (Dafuniks, Mattic) et le flow rappé de MC LostPoet. Une alchimie de styles, de mélodies et de rythmes puisés dans une inspiration sans frontière, ce nouvel album est un agréable voyage à la fois délicat et percutant mais définitivement captivant. Pour les fans de Chinese Man, Wax Tailor, Algorythmik ou peut-être même d'Al'Tarba.
The point of no return
Dr Van Helsing
The event log
It's an african jungle
Secret society
Gold
Erhu
Leave me alone
In the woods
Flying
Little tale
Saregana
There's no need to be frightened
The event log
It's an african jungle
Secret society
Gold
Erhu
Leave me alone
In the woods
Flying
Little tale
Saregana
There's no need to be frightened
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