Sylvain alias Bring's monte en 1994, avec quelques potes, Freedom For King Kong. En 2007, après 4 albums studio et 800 concerts, le groupe breton met fin à ses activités et à une riche aventure artistique dans laquelle le quintet a laissé un bel héritage à la scène fusion rock française. Le chanteur de FFKK ne perd pas de temps et sort l'année suivante, sous le nom de Monkey B, un album hip-hop intitulé Griot des temps modernes composé avec Chap, guitariste du Tcha K Federateur. Quelques temps après, il forme en parallèle Telemak avec Marc Gauvin, un duo électro pop et hip-hop produit par Jim Barr, bassiste de Portishead, et qui compte un mini-album à son actif sorti fin 2011. Il a participé également en 2013 à un titre du deuxième album du collectif jazz-soul-funk de Concarneau Le Cercle. En juin 2014 et à l'aube de la quarantaine, Bring's dévoile Phare ouest, un EP regroupant 4 titres extraits d'un album à paraître à la fin de l'année, A fleur de peau. Ce dernier est réalisé par Nicolas Gueguen, un producteur qui a notamment travaillé pour Beat Assaillant, NTM et Magik Malik.
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Freedom For King Kong
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Phare ouest
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- Lords of Rock : webzine pop rock suisse
- Desert-rock.com : webzine stoner
- The HardCore Source : Webzine HardCore
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Bring's / Chronique EP > Phare ouest
Orphelins de Freedom For King Kong, vous avez peut-être suivi d'une oreille attentive les aventures hip-hop de son chanteur Bring's à travers Monkey B, Telemak ou bien encore Le Cercle. Sachez que ce dernier, au delà de ses activités d'ateliers d'écriture, de conseiller musicien et de scénographe, prépare actuellement A fleur de peau, son premier album. En guise de trailer, Phare ouest, un EP contenant 4 morceaux de celui-ci, a fait son apparition. Mûri et apaisé, le breton se met à nu en poésie, évoque le quadragénaire qu'il est avec ses hauts et ses bas, son passé, ses coutumières utopies (déjà bien présente sur FFKK), ses amours, bref, tous les aspects d'une vie. Son écriture pointilleuse se pose en talk-over sur un hip-hop placide, limite mou, sans artifice pour mieux la mettre en valeur. Et c'est là où le bât blesse car autant avec "Lady butterfly" et "My love", on retrouve des compos avec du relief et des harmonies captivantes, autant avec le reste des titres, la platitude et les refrains ennuyeux gâchent la partie de plaisir. D'un avis mitigé sur l'ensemble de cet EP, on attendra donc sagement l'arrivée en fin d'année de cette première œuvre dans les bacs pour confirmer ou infirmer nos impressions sur ce projet.