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Seven Eyed Crow poursuit sa route, pas forcément vers le soleil cette fois-ci, et à l'image de son artwork, elle n'est pas facile à suivre, avec les inspirations multiples que le groupe amalgame, le résultat est labyrinthique même si le rendu final est plus organisé que chaotique pour reprendre l'oxymore du nom de l'album. > Lire l'article
Un enregistrement pas tout à fait propre ce qui en fait un des rares points sur lesquels ils peuvent progresser (s'il y a une suite !) et c'est bien dommage car ce genre de post hardcore est d'autant plus puissant qu'il est précis, quand les zones d'ombres sont mises en lumière par les passages clairs et inversement. > Lire l'article
Le sextette métal russe Kartikeya a cette particularité depuis pas mal d'années d'intégrer dans son cocktail électrique, fait de death et de trash, des influences indiennes, plus précisément de la musique carnatique. Cette dernière caractérisée par la structure et l'improvisation s'est de nouveau fait une (petite) place sur Samudra, le troisième album de la troupe qui s'est fait attendre (6 ans !). > Lire l'article
10 ans après Live is dead et le break qui a suivi, Psykup est bel et bien de retour, en studio avec Ctrl+Alt+Fuck bien sûr mais aussi en live avec une belle série de concerts dont une date dans leur antre du Bikini au 7 décembre 2017, celle qui était cochée non seulement parce que c'est "à la maison" mais aussi parce que le concert allait être gravé pour l'éternité en DVD. > Lire l'article
The Canyon Observer double la mise ! Avec deux fois plus de titres mais pas deux fois plus de temps, les Slovènes ont travaillé un album complet et pas une succession de longues plages, certains morceaux servent à joindre des pistes ou à se défouler. En gardant sa ligne de conduite "post hard core extrême" le combo s'offre des expérimentations dans les sonorités à la limite du sludge voire du drone... > Lire l'article
Ne pratiquant pas le polonais, je n'ai quasi aucune info sur Down to the Heaven qui nous vient de là-bas, ils se sont mis à six pour composer et enregistrer ce [ level -1 ] (un premier album donc ?) qui impressionne par sa maîtrise et sa capacité à amalgamer différents genres. Guitares hachées, rythmiques puissantes, chant très lourd, samples très présents, le combo évolue quelque part entre l'indus et le death avec des éléments empruntés autant au thrash qu'à électro, au djent qu'au prog'... > Lire l'article
Niko, frontman des Tagada Jones ne s'arrête jamais, c'est presque à sa descente d'avion (le groupe revient du Canada) qu'on l'intercepte pour poser quelques questions sur le Live at Hellfest 2017, la tournée, les clips, Le Bal des Enragés, l'engagement... > Lire l'article
Un nom pas évident à écrire mais qu'il va falloir retenir car les cinq Bordelais repoussent les limites du post-hardcore ! Des groupes sombres et inquiétants, on en connaît quelques-uns mais celui-ci dénote en utilisant toutes les armes possibles pour nous déstabiliser et nous mettre mal à l'aise. Les rythmes ? Ils oscillent entre les plus lents et doom possibles jusqu'à d'autres complètement black. Les voix ? Éraillées, parlées, chantées, hurlées, growlées... > Lire l'article
Ce qui les rend plus intéressant que la moyenne, c'est également leur capacité à intégrer des gimmicks venus d'autres styles que le hardcore "de base", rien que sur "More than mortal", tu peux retrouver du power, du heavy, du thrash, du death et même de l'ambiant ! > Lire l'article
Voilà, encore un live en attendant un nouvel album qui ne devrait pas arriver trop vite vu que 2019 sera une année Bal des Enragés... On peut juste se demander (et leur demander, on le fera) pourquoi avoir choisi ce concert "court" du Hellfest (comme Trust d'ailleurs) alors qu'ils en donnent d'autres parfois plus chauds encore (l'étage à Rennes, Chez Narcisse au Val-d'Ajol, l'Élysée Montmartre à Paris, l'Espace d'Herbauges aux Herbiers...). > Lire l'article
Dans la chaleur de l'été, c'est Jérôme, bassiste d'ACOD, qui s'est prêté au jeu de l'intervi OU mais sans trop se mouiller. > Lire l'article
l'album est assez varié sans que cela ne nuise à l'ensemble car la voix de Jonathan assure un liant évident. Finalement, on ne peut pas reprocher à Davis de trop vouloir bidouiller et de rajouter des couches et des couches d'instruments sauf sur un "Happiness" assez torturé et un "What it is" trop simpliste. L'ensemble est plutôt cohérent et tient la route mais à moins d'être fan du bonhomme, pas sûr que ça intéresse grand monde. > Lire l'article
En somme, les Sevendust sont un peu comme nous, ils ont vieilli, ils se sont assagis, ils ont arrondi les angles, cherchent à améliorer les choses par petites touches, ne se prennent pas trop la tête avec les modes mais suivent tout de même les mouvements de fonds. Quoi qu'il arrive, ils sont toujours là et conservent un noyau de fans qui respectent leur travail parce que derrière ces albums, ces tournées, ces instants qu'on consomme très rapidement, il y a une énorme expérience au service d'un boulot monstrueux. > Lire l'article
This EP has no name and it's alright commence comme il pourrait se terminer, dans la douleur et le chaos, mais c'est bel et bien une introduction et le premier contact avec Lamiràl est pour le moins brutal. On espère alors juste que le supergroupe ne cherche pas juste à faire mumuse dans la veine de The Dillinger Escape Plan. > Lire l'article
Bien qu'amoindri numériquement, Acod réussit à se développer, à trouver de la hauteur comme de la profondeur pour véritablement mériter sa comparaison avec Gojira en proposant sa version personnelle d'un death moderne et percutant. > Lire l'article
En mars, Eryn Non Dae a sorti un des meilleurs albums de l'année, il fallait forcément qu'on en sache plus sur sa création et la vie du groupe, pour cela Mickaël (bassiste mais aussi photographe puisqu'il a réalisé l'artwork) a pris de son temps pour répondre à nos questions... > Lire l'article
Déconcertants de facilité, on rentre très aisément dans leur monde pourtant bien foutraque parce que s'ils éparpillent les styles, ils se concentrent ici sur seulement quelques idées et ne les étirent pas en longueur, cela risque d'ailleurs de décevoir leurs fans puisqu'à part "Blot" (génial) et "Yellow eyes", aucune piste ne s'allonge et ne prend le temps de s'installer. Si tu t'es un jour demandé ce que pourraient écrire Mike Patton et Steven Wilson s'ils bossaient ensemble, Automata I est peut-être un élément de réponse. > Lire l'article
Parce que le métal peut être "brutal" et mental, Eryn Non Dae. revient hanter nos nuits avec un nouvel opus intitulé Abandon of the self, un album emballé de la plus belle manière avec des images qui renvoient à quelques textes dans un livret aussi sobre qu'élégant jouant avec les ombres comme la lumière, apportant de la rugosité et des sensations jusqu'au toucher et à l'odorat. > Lire l'article
Le côté prog très présent sur son précédent opus est moins mis en avant, si ce n'est sur le dernier titre "Wake" où la noirceur occupe lentement mais surement de plus en plus d'espace. Déroutant, le travail d'Ihsahn ne peut laisser indifférent, dommage qu'il ne soit pas plus cohérent... > Lire l'article
Du post-metal hongrois rejoint nos pages, ce n'est pas tous les jours que cela arrive, et découvrir Örvény me remémore quand les copains me ramenaient à une certaine époque des CD d'obscurs groupes metal ou punk issus d'Europe Centrale ou de l'Est. Une musique commune mais unique par l'expression vocale liée à une langue locale. Ici, elle est hongroise et se marie plutôt bien à la musique tendue, atmosphérique et mélodique de Perihelion. Deux ans après Zeng, Perihelion ne chôme pas et envoie dans nos esgourdes un 3eme LP de 7 chansons avec une efficience digne des plus grands du genre. > Lire l'article