Liens Internet
Tomypunk : webzine punk emo ska punk
musik-industry.com : webzine rock/métal/ciné
Articles :
Si tu te questionnes encore sur la faisabilité d'un mariage Stoner/Indus ou que tu es avide de nouvelles sensations, ouvre une fenêtre et pars à la recherche de ce Black neons des Wallack, aussi excitant sur le papier que réussi musicalement. > Lire l'article
Pour être le plus transparent possible, Keep it simple est clairement le genre de disque qui s'écoute facilement et qui procure de bonnes sensations. Pas prise de tête, mais pas dépourvu d'intérêt non plus. Le trio, emmené par sa tête pensante Ian Giddey (aka Barefoot Iano aka membre fondateur du duo Mountain Men) qui en est à son quatrième album solo, a en effet tout pour plaire. > Lire l'article
C'est avec un rageur "Statement of freedom" et ses passages spoken word (une habitude qu'on retrouvera régulièrement jusqu'au morceau de clôture "A step in the morning glow") que les Nippons attaquent et explosent les codes "post", hard-core, rock, screamo, on peut mixer les adjectifs comme eux mixent les influences mais si notre résultat tiendra en quelques mots, le leur tient en de bien plus denses sensations. > Lire l'article
Thomas Howard Memorial est un quatuor de Guingamp comptant deux membres du Craftmen Club et qui a sorti il y a quelques mois son deuxième album, Bonaventura. On a voulu en savoir plus, par le biais de son fondateur Yann Ollivier (chant, guitare et auteur des textes), sur cette bande de potes pour qui la pop atmosphérique n'a plus aucun secret depuis 2010. > Lire l'article
En pleine période de confinement covidproof, où l'espace de vie se résume pour certains à quelques dizaines de mètres carrés, il convient de bien choisir la musique, c'est le duo bruxellois d'Alaska Gold Rush que je te conseille en période de confinement histoire d'accompagner tes journées avec insouciance et optimisme. ...mais même quand on sera tous déconfinés, ça marchera très bien aussi. > Lire l'article
Si Hossegor est surtout connu pour être un spot de surf, les This Will Destroy Your Ears entendent bien en faire une nouvelle capitale française, celle d'un post-punk noisy-garage qui s'inspire de la froideur des eighties et sonne comme un bon groupe indé d'aujourd'hui. > Lire l'article
À l'aube des années 2010, deux membres de The Craftmen Club décident de monter un duo folk nommé Thomas Howard Memorial. Tiré du vrai nom du gangster Jesse James, ce groupe enrichit son effectif et enchaîne de manière impétueuse deux EPs et un premier album autoproduit aux sonorités pop-rock. Le quatuor breton (from Guingamp) se distingue au début de l'année 2020 avec l'apparition sur les radars d'un deuxième LP : Bonaventura. > Lire l'article
Pour moi, ce genre de musique très reposante, c'est celle du dimanche matin, celle qu'on écoute bien au chaud, ça tombe bien, il fait bon et en ce moment et c'est dimanche tous les jours durant le confinement. > Lire l'article
Bloqués chez eux, les Nord se sont mis en quatre à quatre pour répondre à nos questions à propos de la sortie de leur très beau The only way to reach the surface et du confinement, deux sujets brûlants... > Lire l'article
Rn plus de leur punk rawkonnaissable avec ses fameux soli à un doigt, ces gens bien à gauche aiment cultiver un humour po si tâche que ça et surtout très référencé (ciné) et imagé. Dans leurs précédents disques on peut ainsi retrouver des titres comme "You're my Han Solo", "Run like Tom Cruise", "I love you but I need Natalie Portman"... > Lire l'article
Les qualités entrevues avec leur premier EP sont confirmées ici, la distance, bien plus longue, permet au combo d'explorer encore davantage de pistes vers le métal (des passages hurlés, d'autres très marqués par le post hard core) tout en conservant le pouvoir ensorceleur de la voix de Florent et une base rock alternatif avec des distorsions douces comme un groove plus mesuré que sur les élans progressifs ou matheux que ne se refuse pas le quatuor. > Lire l'article
Installez-vous, détendez-vous, imaginez que vous avez lancé la lecture d'un EP d'à peine moins de 20 minutes d'un artiste dont le nom est celui d'un dinosaure inconnu, mais qui vous procure au minimum un rictus lorsqu'on le prononce : Petosaure... > Lire l'article
Si le métal instrumental peut être rapidement prise de tête ou tourner à l'exhibitionnisme, les Belges réussissent ici à maintenir leurs ardeurs au bénéfice des compositions et d'un ensemble plus vaste que chacun des univers des musiciens, un aboutissement alors que ce n'est que le début de leur histoire. > Lire l'article
The Junction est un power trio de rock italien qui touche sa bille dans son domaine quand il s'agit de délivrer son lot de riff tendus, contrebalancé par moments de ballades mélodiques. Avec des influences de choix à la clé ! > Lire l'article
Deliverance est repassé à quatre pour nous livrer un psaume sacrificiel encore plus sombre que leur précédent opus, si les références religieuses sont toujours présentes, la noirceur occupe désormais toute l'image et le titre renvoie dans l'inconscient collectif plus à un génocide qu'un rituel et la numérotation amène à un chapitre du Lévitique sur les malédictions. Tout un programme qui en plus s'inscrit dans le passage de vie à trépas de Deadlight Entertainment, la danse provoquée par Deliverance est donc plutôt macabre... > Lire l'article
Il faut vraiment me proposer un super concert pour que je tape 250 bornes aller-retour un dimanche soir ! Mais rater l'occasion de (re)voir en live Kvelertak, qui plus est avec son nouveau chanteur, aurait été une hérésie. > Lire l'article
Alternant passages empruntés aux 70's et échantillons sonores dans l'ère du temps, Howard mixe les genres avec générosité et malice. Chaque morceau est unique mais l'ensemble forme un disque compact et complet. À tel point que dès la première écoute, le charme opère. > Lire l'article
Quel est le point commun entre la gazelle des steppes africaines coursée par un guépard affamé, la course en bout de terrain d'un ailier de rugby qui doit passer un dernier défenseur avant d'aller aplatir le ballon et le dernier EP de MOKO ? Le changement d'appui, de direction. > Lire l'article
Troisième et dernier acte pour les aventures du destructeur des mondes, Mr Strangler, l'artwork ne laisse pas entrevoir de fin heureuse, on passe du trône à une chaise électrique observée par des ombres bien sombres. Porn achève sa trilogie avec un disque de nouveau très abouti où chaque plage est à sa place et sert l'ensemble... > Lire l'article
cette intro digne d'un mauvais David Guetta laisse exploser une perle de hard rock mélodique, produit à la perfection, avec tous les ingrédients qui font de Blind Revolution un groupe à tubes : guitares heavy et bluesy, chant délicieux, rythmique imperturbable et clavier efficace. > Lire l'article