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Que fait-on quand on est des patrons du métalcore mondial ? On patronne. Ou tout au moins, on plafonne... Killswitch Engage n'a plus grand-chose à prouver à qui que ce soit et ne cherche pas spécialement à se réinventer. Reste qu'il faut quand même sortir des albums et faire des tournées pour ne pas pointer au chômage... Dans leur désormais longue discographie, cet Atonement prend le numéro 8 et ne se signale que par des remarques anecdotiques. > Lire l'article
Les gars sont fans de pop comme de punk et s'ils n'écrivaient pas des textes aussi cons (et drôles), on pourrait les prendre au sérieux (et ça les ferait flipper je pense) parce que musicalement, si ce n'est pas toujours très recherché, c'est quand même bien ficelé avec des enchaînements rock/noise/prog qui passent crème... > Lire l'article
On vous en parlait au moment de passer en revue le contenu de leur précèdent disque After the endless day sorti en 2013 (déjà !) : Twin Apple évoque le soleil, ce petit rayon dont on a tous besoin pour contribuer à notre bien-être physique et mental. Ça tombe bien puisqu'en février, la formation de Gabriel Arnaud, compositeur en chef de la bande, a sorti son nouvel album, le troisième. > Lire l'article
Après une interview fleuve accordée au moment de la sortie de la compilation de titres en mode harp-cello, Manu revient nous dire quelques mots sur son nouvel album presque "normal" puisqu'il ne l'est pas tout à fait, tant son ouverture est grande. > Lire l'article
"Un nouveau cap, une aventure, mais qu'est-ce qu'on peut dire dans une chanson", ces mots extraits du titre "L'horizon" peuvent résumer l'album éponyme. Pour savoir si c'est un nouveau cap, il faudra attendre la suite, ce qui est sûr, c'est que c'est une aventure. Parce qu'autour d'excellents morceaux tout à fait réfléchis et écrits comme Manu sait le faire, on trouve un tas d'idées qui sont autant d'explorations que de liaisons. > Lire l'article
Teramaze existe depuis 1995 et a déjà une belle discographie (c'est leur septième opus) mais à moins d'être un auditeur très averti au rayon prog-métal australien et être aller chercher ce que nous propose le pays des kangourous à part Karnivool ou Voyager, pas évident de croiser les auteurs de ce Are we soldiers... > Lire l'article
Quand on est au sommet d'une énorme falaise, à tutoyer le vide, et qu'on veut rejoindre le fond de la vallée que l'on entrevoit à peine, on peut sauter en wingsuit et danser avec les aigles, ou faire volte face et rentrer par le joli petit chemin de randonnée qui serpente le long de la montagne. Alors c'est sympa la randonnée, puis c'est mignon tous ces petits bosquets, mais ça file moins l'adrénaline qu'un saut dans le vide. > Lire l'article
Délicates impressions que celles d'écouter un album aussi "plaisant" à l'oreille alors que c'est la mort et ses souffrances qui sont responsables de sa création. La famille KoRn est passée de l'être au néant, The nothing est son chemin pour revenir vivre avec les vivants sans pleurer et en s'affranchissant d'un poids trop lourd à porter. > Lire l'article
Mais quelle sensation peut bien se cacher derrière l'invitation à cette activité linguale mystérieuse ? Sucrée, épicée, érotique, sexuelle ? Plutôt celle procurée lorsqu'on teste le voltage d'un pile 9V : Ça surprend, ça picote, ça chatouille. Bonne année ! > Lire l'article
Wouah. Juste "wouah". Parce que pour un groupe qui n'a pas encore 4 ans et qui n'a qu'un EP sous le bras, sortir un album du niveau d'Origins, chapeau ! Et ça sans l'aide d'un label. Les Tourangeaux (parce que oui, en plus ils sont Français, pas si évident à l'écoute) viennent donc nous mettre une belle claque métal-core avec tout ce qu'il faut de patate et de mélodies. > Lire l'article
En mettant autant de temps entre deux albums, chaque sortie de Tool marque forcément son époque et une évolution dans le monde de la musique. > Lire l'article
Si tu aimes les hallucinations, la couleur, les seventies, les mélodies ultra nerveuses, les noms chelous, les ambiances chaloupées (oui, ils ne sont pas toujours à fond), la fuzz et cette énergie qui file la patate et le sourire, alors, allume ta platine, et dépose le disque (oui, c'est le genre de trucs qui a plus d'allure en 33 tours) et embarque dans le monde de And now for the whatchamacallit, et tu peux y aller sans rien prendre d'illégal, le groupe se charge de tout. > Lire l'article
On peut bien multiplier les écoutes, rien n'y fait. L'esprit du démon n'est pas de cet album. Les damnés se sont transformés en bonhomme de guimauve imbibés dans un bain new wave dépassé. > Lire l'article
Ce Decade of depression rend hommage à des groupes et des univers que les Ricains doivent apprécier. En guise d'apéro, on a le droit à la musique de Frayeurs, un classique de film de zombies avec un glas qui colle bien à l'ambiance. Pour qui sonne-t-il ? Pour MetallicA ? La transition est travaillée et la reprise particulièrement réussie même si la prod' a certainement abusé des basses... > Lire l'article
L'aube n'est pas à craindre, elle sépare juste la nuit du jour, l'obscurité de la lumière, c'est cet instant magique où des univers se croisent et la vie reprend, certes, pour les adorateurs de la lune, c'est une pause dans le cycle... mais ce moment particulier est aussi une allégorie de la musique de Cult of Luna, une musique aux confluences de multiples ambiances, une musique riche en sensations qui, malgré toute leur variété, riment avec communion. > Lire l'article
Deux ans après son premier album folk/americana Gold in the ashes puis un album de reprises de Simon & Garfunkel avec Morgane Imbeaud de Cocoon, le jeune Elias Dris revient avec Beatnik or not to be, un deuxième album enregistré en France au mythique studio Black Box (le premier avait été fait en Californie). Reconnu pour ses qualités de compositions, Elias évolue désormais sous influences pop. > Lire l'article
A chaque nouvel album, les Mars Red Sky subliment leur recette, répétant leurs gammes avec davantage de maîtrise et de générosité. The task eternal n'échappe pas à la règle, encore une fois, il faut se dire que c'est certainement leur climax et que c'est donc maintenant qu'il faut profiter de leur musique. Et tant pis s'ils se surpassent dans quelques années, on aura toujours profité à fond de cet album d'exception. > Lire l'article
4 ans après Les insurgés de Romilly et pris dans le projet gargantuesque PinioL avec les copains de PoiL, nos quatre turbulents de Ni ont sorti en mars dernier un nouvel LP, leur deuxième au compteur, répondant au nom de Pantophobie. Alors, vous allez me dire, mais qu'est-ce que la pantophobie ? Et bien, c'est la peur de tout. > Lire l'article
S'ils n'ont pas tout perdu de leur pouvoir narratif et hypnotique, les Russian Circles progressent dans leur parcours avec le bien nommé Blood year qui fait la part belle aux riffs sanguins et à une violence qui n'est plus contenue, ils franchissent le pas et passent donc du côté obscur de leurs forces, ce qu'ils perdent en complexité, ils le gagnent en efficacité, la puissance qui s'imprime dans les corps est désormais supérieure à celle qui affecte le mental, c'est un choix qu'ils nous imposent mais c'est fait avec brio... > Lire l'article
A l'instar de cette belle pochette énigmatique au premier abord, à s'interroger sur la signification de cette belle étreinte, c'est un vrai duo paritaire qui sait te balader sur les neuf titres de ce Disaster serenade. Les Parlor Snakes valsent entre un rock épais, un blues apaisant, un garage rock frénétique, un pop rock enjoué ou aérien et on les accompagne avec plaisir. > Lire l'article