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Margaretha Geertruida Zelle, plus connue sous le pseudonyme Mata Hari, a eu une vie assez rocambolesque et rock'n'roll pour que l'on puisse imaginer qu'elle avait un petit côté punk en ce début du vingtième siècle : sexe, drogue, espionnage et spectacle à oilpé. Une rebelle assumée lorsque le jour de son exécution, elle refuse qu'on lui voile le visage, envoie un baiser aux soldats de peloton et s'écrie : "Quelle étrange coutume des Français que d'exécuter les gens à l'aube !" > Lire l'article
Indie pop, lo-fi et rock, Burkingyouth. nous montre l'étendue de son talent d'auteur en à peine 4 titres. Le projet personnel de David Lorgis navigue donc en eaux douces et tempérées même si "Fire", le titre du même nom est emmené par une petite distorsion, une ligne de basse plutôt nerveuse et donne dans la tonalité des récentes sorties de Nada Surf, les trois autres sont bien plus sages et clairs. > Lire l'article
Est-ce qu'une part de clafoutis a toujours le goût du clafoutis ? Bien sûr que oui ! Est ce qu'une part de Ludwig Von 88 a la même saveur que Ludwig Von 88 ? > Lire l'article
Les 7 Weeks seraient-ils condamnés à toujours refaire la même chose ? Ecrire un album, l'enregistrer, le défendre sur scène puis tout recommencer et comme Sysiphe remonter leur boulet au sommet avant de, de nouveau, le voir dégringoler ? Ils n'ont pourtant pas défié la Mort (ou alors, ce serait les zombies qui voudraient se venger ?) et repartir de zéro pour chaque nouvel opus ne semble pas non plus être la pire punition pour les Limougeauds qui ont encore quelques idées derrière la tête d'ampli. > Lire l'article
Après un très bon album acoustique en 2018, Lofofora a vite rebranché les guitares pour nous servir un furieux Vanités à la fin 2019. Le combo parisien est toujours au niveau, c'est peu de le dire. > Lire l'article
Pourquoi toujours zieuter outre-Atlantique ou outre-Manche pour croire qu'il n'y a que là-bas que l'on peut trouver de l'indie rock ? Et pourquoi l'anglais serait-il le seul idiome accepté ? Bon, c'est vrai que ça sonne pas mal ensemble mais bon, faut pas rester cantonné dans son pré carré. Déjà en France, il y a de quoi se gaver si tu cherches bien. Mais en Europe aussi, et pourquoi pas lorgner du côté de la Croatie ? > Lire l'article
Allez, on change un peu d'horizon, de temps en temps ça fait du bien. On réchauffe les cœurs de rockers à l'âme trop sombre avec Beep It qui, par leurs rythmes et mélodies electro-disco vintage et synth-pop, vont te faire trémousser et dandiner à merveille. > Lire l'article
Si tu espérais que le combo continue de prendre des risques avec un punk hardcore sauvage et sans concession, tu pourrais être déçu, pour ma part, j'avoue ma faiblesse et chantonner un paquet de leurs nouveaux hymnes... > Lire l'article
Digne du meilleur de The Distillers ou de Courtney Love, Mannequin Pussy est une très chouette découverte donc, même si avec ses dix titres pour vingt-six minutes on en redemande. Va falloir attendre et prendre son mal en patience... > Lire l'article
Voice Of Ruin a donc repris les choses où Purge and purify les avait laissées en soignant encore plus son boulot, les amateurs ne leur en voudront pas... > Lire l'article
Les Auvergnats nous ont bien bluffés avec leur premier album Truth fades, chroniqué dans le mag précédent, on s'est dit qu'on allait chercher à en savoir plus avec Bounce, guitariste, à l'origine du groupe. > Lire l'article
From somewhere invisible est un vortex duquel on se souhaite de ne pas trouver la sortie. Poésie, chaos organisé et équilibré, calme et tension, Oiseaux-Tempête nous met dans l'oeil du cyclone et dans le cyclone en même temps. > Lire l'article
La seule condition pour que tu passes un bon moment est que tu sois amateur de guitares, de mélodies et que tu tombes systématiquement dans le panneau quand il s'agit d'un bon (voir d'un très bon) disque de classic rock. > Lire l'article
Les deux Argentins vivant à Bilbao, reviennent dans notre boîte aux lettres avec Bestiarium. Cette fois-ci, on ne loupe pas l'occasion de vous parler de ce disque inspiré par les bestiaires et les créatures antiques mais également par le court-métrage "Jean Cocteau s'adresse à l'an 2000" réalisé par le poète en 1962, et dans lequel il se pose la question de savoir si les humains sont déjà devenus des robots. > Lire l'article
Question métal indien, je ne connais guère qu'Arcelor Mittal, qui fait vivre une partie de la vallée de la Fensch en Moselle. Mais comme W-Fenec Magazine n'a pas vocation à marcher sur les plates-bandes du journal Les Echos, je vais te proposer d'évoquer un autre type de métal indien. Un métal dur, puissant, mais quand même plaisant. > Lire l'article
Dewolff s'est fait plaisir avec ce nouvel album puisqu'il a été enregistré en mode "challenge" durant les 4 mois d'une tournée à travers l'Europe. Les gars ont déterré un enregistreur K7 Tascam avec micro, un vieux clavier et une boîte à rythme, ils ont branché une guitare sur le bordel et ont gravé leurs idées sur bandes, tout seuls comme des grands. > Lire l'article
Les rythmes, quand ils ne sont pas lourds, sont explosifs, les guitares sont abrasives, et la noirceur de l'ensemble donne un caractère attrayant. Un morceau retient plus particulièrement mon attention pour son côté hypnotique et intriguant ("Lonely kid"), mais le reste des chansons est de bonne facture, rendant hommage à ses héros sans entrer dans la caricature et le plagiat. > Lire l'article
Nouveau projet combinant des membres de différents groupes alsaciens, Glide On The Black Cloud sort un premier album d'une qualité rare, c'est donc l'occasion de donner la parole à deux de ses géniteurs Nic-U et Thomas. > Lire l'article
Sans mettre de côté aucune de leurs influences, les musiciens ont abouti à un ensemble assez homogène qui navigue dans les eaux des Young Gods qui sonne comme la comparaison la plus évidente mais on peut aussi penser à certains travaux de Trent Reznor... > Lire l'article
Quasiment un an jour pour jour après le lancement du ténébreux Smote reverser, la bande du stakhanoviste américain John Dwyer remet le couvert avec Face stabber, leur 22e album depuis 2003. Et ce n'est pas pour 40 minutes. puisque le disque contient 1h20 de musique à travers 14 titres (dont un comptant une vingtaine de minute). Alors, soit le groupe en garde beaucoup sous le pied, soit la phobie de ne plus être sur la route ou en studio est trop forte, ou autre explication bancale : ces types sont des cyborgs du son. Franchement, on n'est pas loin de le croire vu le résultat absolument magique et de classe mondiale obtenu sur ce dernier méfait des Oh Sees. > Lire l'article